Joseph-Élie Méric
![Page d’aide sur l’homonymie](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/a/a9/Logo_disambig.svg/20px-Logo_disambig.svg.png)
Pour les articles homonymes, voir Méric.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/1/1e/Noun-ink-103763.png/41px-Noun-ink-103763.png)
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/1/1f/Nuvola_France_flag.svg/35px-Nuvola_France_flag.svg.png)
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/9/91/IHS-monogram-Jesus-medievalesque.svg/40px-IHS-monogram-Jesus-medievalesque.svg.png)
Cet article est une ébauche concernant un écrivain français et le catholicisme.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Naissance | ![]() |
---|---|
Décès | ![]() |
Nationalité | française ![]() |
Activités | Religieux, théologien ![]() |
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/a/af/Equemauville_plaque_M%C3%A9ric.jpg/110px-Equemauville_plaque_M%C3%A9ric.jpg)
modifier - modifier le code - modifier Wikidata
Joseph Élie Méric ([1] - 1905) est un ecclésiastique français, docteur en théologie, philosophie et lettres, et professeur à la Sorbonne, né à Hesdin (Pas-de-Calais). Il décède à Honfleur (Calvados) le 16 octobre 1905[2].
Biographie
Il est président démissionnaire de la Société des Recherches Psychiques, fondée par Ferdinand Brettes[3] ; sa démission a fait le sujet d'une brochure publiée sous le pseudonyme « Homo Oratorien ».
En 1898 il crée, en opposition à Brettes, l'Académie des sciences psychiques[4] et devient directeur de sa Revue du monde invisible, qu'il publie pendant dix ans (1898-1908).
Il est chanoine de Lorette, chanoine d'honneur de Toulouse, d'Albi, etc. Il est fait prélat de Sa Sainteté en 1894, protonotaire le 23 mars 1897. Il est officier de l'Instruction publique[2].
Publications
- Raison et Foi, Jules Bonaventure, 1869, lire en ligne sur Gallica
- La Morale et l'Athéisme contemporain, Albanel et Baltenweek, 1875
- L'autre vie, Palmé (Paris), 1881
- Le Clergé sous l'Ancien Régime, Joseph-Élie Méric, 1890
- Le Clergé et les temps nouveaux, Victor Lecofre, 1892, lire en ligne sur Gallica
- Histoire de M. Emery et de l'Église de France pendant la Révolution, Poussielgue, 1895
Armoiries
Il porte : tranché : d'azur à 3 étoiles d'argent 2 et 1 et de gueules à la croix latine pommetée d'or, à la bande d'or sur la partition. Devises : Fides quaerens intellectum. Cunctis post habitis maluit esse latens.[2]
Références
- ↑ Acte de naissance no 70 de la page 24/252, cote du registre 3 E 447/34 de Hesdin 1838-1840, en ligne sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais.
- ↑ a b et c Aymar de Saint-Saud, Armorial des prélats français du XIXe siècle, Paris, H. Daragon, , 415 p. (lire en ligne), p. 368.
- ↑ paul airiau, « "Mgr Méric contre le chanoine Brettes. Le conflit de 1898 à la Société des Sciences psychiques", Politica hermetica, n° 12, 1998.pdf », sur academia.edu, (consulté le ).
- ↑ Patrick Sbalchiero, L'Église face aux miracles : de l'Évangile à nos jours, Fayard, 2007.
Liens externes
- Notices d'autorité
:
- VIAF
- ISNI
- BnF (données)
- IdRef
- LCCN
- GND
- Italie
- Pays-Bas
- Pologne
- NUKAT
- Tchéquie
- Portugal
- WorldCat
Portail du christianisme