Lapugnoy
Lapugnoy | |||||
Lapugnoy. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Béthune | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane | ||||
Maire Mandat | Alain Delannoy 2020-2026 | ||||
Code postal | 62122 | ||||
Code commune | 62489 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Punéens | ||||
Population municipale | 3 518 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 409 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 31′ 02″ nord, 2° 32′ 28″ est | ||||
Altitude | Min. 24 m Max. 93 m | ||||
Superficie | 8,61 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Béthune (banlieue) | ||||
Aire d'attraction | Béthune (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Béthune | ||||
Législatives | Neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | ville-lapugnoy.fr | ||||
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Lapugnoy est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Punéens.
La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.
Géographie
Localisation
Lapugnoy est localisée à l’ouest de Béthune, entre le bois de Roquelaure (au nord) et le bois des Dames (au sud). La commune est à la fois drainée et irriguée par la Clarence.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Allouagne | Chocques | |
Lozinghem | Labeuvrière | |
Marles-les-Mines | Bruay-la-Buissière |
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 8,61 km2 ; son altitude varie de 24 à 93 m[1].
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
La commune est traversée par trois cours d'eau :
- la rivière la Clarence, cours d'eau naturel de 33 km, qui prend sa source dans la commune de Sains-lès-Pernes et se jette dans la Vieille Lys aval au niveau de la commune de Calonne-sur-la-Lys[3],[4] ;
- le ruisseau la Busnettes, cours d'eau naturel de 8,34 km, qui prend sa source dans la commune d'Allouagne et se jette dans le Grand Nocq au niveau de la commune de Gonnehem[5] ;
- la Calonette, cours d'eau naturel de 3,92 km, qui prend sa source dans la commune, et se jette dans la Clarence au niveau de la commune de Chocques[6].
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat des Hauts-de-France et Climat du Pas-de-Calais.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 793 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 7 km à vol d'oiseau[9], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Milieux naturels et biodiversité
Espace protégé et géré
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13].
Dans ce cadre, on trouve sur le territoire de la commune un terrain géré (location, convention de gestion) par le conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France : le bois des dames, d'une superficie de 140 ha[14].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 1] :
- le bois des Dames, d’une superficie de 634 ha et d'une altitude variant de 36 à 76 m[15].
- La commune, ainsi que celles de Bruay-la-Buissière, Labeuvrière et Gosnay, située sur cette ZNIEFF, abritent le bois des Dames qui s'étend sur près de 401 hectares[16]. C'est l'une des deux seules forêts de protection de la région Nord-Pas-de-Calais, instituée en 1984 en application du code forestier[17],[18]. C'est un élément important de la trame verte régionale, qui doit aussi être connecté à la Trame bleue dans le cadre du SAGE de la Lys, via le corridor de la vallée de la Lawe à connecter à la ceinture verte de Béthune[19] dans le cadre d'un SAGE. ;
- le bois de Lapugnoy, d’une superficie de 411 ha et d'une altitude variant de 26 à 76 m. Cette ZNIEFF est un ensemble boisé sur une butte sablo-argileuse du Tertiaire[20].
Espèces faunistiques et floristiques
L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[21].
Urbanisme
Typologie
Lapugnoy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[22],[23],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[25] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[26],[27].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béthune dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[28],[29].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (40,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (40,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,1 %), terres arables (30,7 %), zones urbanisées (23,6 %), mines, décharges et chantiers (3 %), prairies (2,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques naturels et technologiques
Risque inondation
À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[31].
Toponymie
La commune nous apprend que la partie la plus ancienne de Lapugnoy porte le nom d’Ecque . Elle a fusionné en 1739 avec un lieu-dit, pugnoie, pour devenir au fil des siècles la ville que nous connaissons aujourd'hui.
Ecque est attesté sous les formes Eka au IXe siècle ; Eke en 1100 ; Ecca en 1200 ; Ecke en 1340 ; Eque en 1374 ; Esque en 1375 ; Ecque en 1530 ; Esques-en-Pugnoie en 1739 ; Heek en 1759[32].
Formes désignant le hêtre, une hêtraie, à partir de la racine ek. Les bois de chênes s’appelaient Eik-holt, d’où Eeklo en Flandre, y compris dans la région française de l’Artois[33].
Lapugnoy est attesté sous les formes Le Pugnoie en 1199 ; Pugneia en 1200 ; Pugnoia en 1225 ; Le Puisnoie en 1343 ; La Pugnoye en 1381 ; La Pennoy en 1631 ; Peugnoy en 1720 ; Pugnoie-Esques en 1739 ; Ecque Peugnoy au XVIIIe siècle[34]; La Pugnoy en 1793 ; La Pugnoy et Lapugnoy depuis 1801[1].
Le Comte Auguste de Loisne estime dans son Dictionnaire topologique du Pas-De-Calais que la terminaison OY ou OIE reproduit le suffixe latin -ETUM qui désigne un bois d’après les essences qu’il contient. Pour lui, lapugnoy est le pennoy, pinetum : le « bois de pins ou de sapins ».
Histoire
La commune a bénéficié d'une immigration polonaise dans les années 1920. Des ouvriers sont arrivés de Pologne, sans famille ni mobilier, en bateau puis en train, par la gare de Chocques, pour être installés des baraquements par leurs employeurs, qui avaient besoin de main-d’œuvre pour la remise en fonctionnement des mines, partiellement détruites pendant la guerre[35].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais[36].
Commune et intercommunalités
La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 094 habitants en 2020[36].
Circonscriptions administratives
La commune est rattachée au canton de Béthune[36].
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la neuvième circonscription du Pas-de-Calais[37].
Élections municipales et communautaires
Liste des maires
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
mai 1925 | avril 1928 | Cyr Bouchart[38] | SFIO | Cabaretier Décédé en fonction |
juin 1928 | mai 1935 | Fernand Delforge[39] | SFIO | Ajusteur |
mai 1935 | 1944 | Alexandre Pollet[40] | SFIO | Ouvrier mineur |
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1977 | 1989 | Joseph Quidet | ||
mars 1989 | En cours (au 24 mars 2022) | Alain Delannoy | PS | Infirmier Conseiller général de Béthune-Sud (1998 → 2015) Conseiller départemental de Béthune (2015 → 2021) Réélu pour le mandat 2014-2020[41],[42],[43],[44] Réélu pour le mandat 2020-2026[45],[46] |
Équipements et services publics
Population et société
Démographie
Les habitants sont appelés les Punéens[47].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[49].
En 2021, la commune comptait 3 518 habitants[Note 4], en augmentation de 2,15 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
304 | 336 | 365 | 422 | 475 | 494 | 528 | 551 | 638 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
829 | 904 | 980 | 916 | 1 139 | 1 312 | 1 478 | 1 677 | 1 763 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 885 | 2 074 | 2 168 | 2 867 | 2 673 | 2 333 | 2 250 | 2 284 | 2 220 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 678 | 2 556 | 3 259 | 3 375 | 3 426 | 3 310 | 3 292 | 3 286 | 3 425 |
2018 | 2021 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 467 | 3 518 | - | - | - | - | - | - | - |
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[50].)
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,9 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 631 hommes pour 1 836 femmes, soit un taux de 52,96 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,3 | 90 ou + | 1,3 |
5,9 | 75-89 ans | 9,5 |
16,7 | 60-74 ans | 17,8 |
19,3 | 45-59 ans | 17,9 |
20,6 | 30-44 ans | 19,4 |
17,2 | 15-29 ans | 15,6 |
20,0 | 0-14 ans | 18,5 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 1,6 |
5,5 | 75-89 ans | 8,9 |
16,4 | 60-74 ans | 17,8 |
20,3 | 45-59 ans | 19,3 |
19,1 | 30-44 ans | 18,2 |
18,1 | 15-29 ans | 16,2 |
20,2 | 0-14 ans | 18,1 |
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint Vaast.
- Le monument aux morts[53].
- Le parc de la Clarence de Lapugnoy, sur le site de l'ancienne gare de triage.
- Le Lapugnoy Military Cemetery ; y sont enterrés des soldats de la Première Guerre mondiale (966 Britanniques et 349 Canadiens) et de la Seconde (11 Britanniques)[54].
Personnalités liées à la commune
- Jacques Legros (1951-), directeur de l'information de TF1, fils d'Aimée Legros, enseignant, adjointe du maire Joseph Quidet, né à Lapugnoy.
Héraldique
| Les armes de la ville se blasonnent ainsi : coupé au 1) parti au I de sable aux trois épieux d'argent et au II de gueules à la croix d'argent chargé de cinq moucheture d'hermine de sable, au 2) d'or au chevron d'azur accompagné de trois hures de sanglier arrachées de sable, défendues du champ. |
Pour approfondir
Sur les autres projets Wikimedia :
- Lapugnoy, sur Wikimedia Commons
- Lapugnoy, sur le Wiktionnaire
Bibliographie
Ouvrage consultable aux archives départementales du Pas-de-Calais[55] :
- J. Ratel, Monographie de la commune de Lapugnoy, Le Touquet-Paris-Plage, 2001.
Articles connexes
- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France
Liens externes
- Site de la commune
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 5]
- « Lapugnoy » sur Géoportail.
Bases de données, dictionnaires et encyclopédies
- Ressources relatives à la géographie :
- Insee (communes)
- Ldh/EHESS/Cassini
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Annuaire du service public français
- Notices d'autorité :
- BnF (données)
Notes et références
Notes
- ↑ Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- ↑ "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- ↑ a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - Clarence (E3640620 ) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - Vieille Lys aval (E3640600 ) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau la Busnettes (E3640890) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - Calonette (E3640750) » (consulté le )
- ↑ a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- ↑ « Orthodromie entre Lapugnoy et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- ↑ « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- ↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- ↑ « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- ↑ « espace protégé FR4505936 - bois des dames », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- ↑ . Une partie du site est constituée par la forêt domaniale du bois des Dames« ZNIEFF 310013744 - Bois des Dames », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- ↑ Journal officiel, page relative aux forêts de protection du Nord/Pas-de-Calais
- ↑ Classement par décret du 9 juillet 1984 portant création de la forêt de protection du Bois-d'Epinoy (Pas-de-Calais) JO 21-07-1984, p. 2379-2380.
- ↑ Les forêts de protection sur Légifrance
- ↑ « Projet de reconquête environnementale du Fossé d'Avesnes »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (Résumé non technique) ; Rapport final, SYMSAGEL, 21 octobre 2003, consulté 2010 08 01.
- ↑ « ZNIEFF 310013745 - Bois de Lapugnoy », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- ↑ « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- ↑ « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- ↑ « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur insee.fr (consulté le ).
- ↑ « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Béthune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- ↑ République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264, , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 129.
- ↑ Albert Carnoy, Le chêne dans la toponymie et la linguistique, coll. « Revue Internationale d'Onomastique », , p. 96.
- ↑ Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 309.
- ↑ « "De la discrimination à l’intégration" »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Echo62, .
- ↑ a b et c « Rattachements administratifs de la commune », sur l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
- ↑ « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ Notice BOUCHARD Cyr, version mise en ligne le 3 novembre 2010, dernière modification le 3 novembre 2010
- ↑ Notice DELFORGE Fernand , version mise en ligne le 24 novembre 2010, dernière modification le 24 novembre 2010
- ↑ Notice POLLET Alexandre, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 30 novembre 2010
- ↑ Reno Vatain, « Bilan du maire de Lapugnoy : « Nous avons voulu rendre la commune attractive » : Alain Delannoy, toujours PS de cœur, mais exclu du parti l’année dernière, pour s’être présenté aux législatives contre l’avis de la fédération, termine son quatrième mandat à Lapugnoy. Et en briguera un cinquième, et « dernier », en mars prochain. Celui qui est également conseiller général revient sur les projets de ces six dernières années », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Lapugnoy : cinquième et dernier mandat pour Alain Delannoy : Ce samedi matin, il y en avait du monde en mairie, pour l’installation du conseil municipal. Alain Delannoy, qui occupe le poste de maire depuis 1989, a été réélu sans grande surprise. Il recueille dix-huit voix pour et cinq votes blancs », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- ↑ Cécile Rubichon, « Lapugnoy : équipée, la ville d’Alain Delannoy attend de nouveaux habitants : Multi-accueils, médiathèque, salle culturelle, rénovation de l’habitat ancien, protection de l’environnement, lutte contre les incendies et les inondations, vidéosurveillance… « Il ne reste pas grand-chose à faire » à Lapugnoy aux yeux d’Alain Delannoy. Maire depuis 1989, il n’exclut finalement pas de se représenter. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- ↑ « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- ↑ Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lapugnoy (62489) », (consulté le ).
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- ↑ « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- ↑ (en) « Lapugnoy Military Cemetery », sur le site du Commonwealth War Graves Commission (consulté le ).
- ↑ « La commune de Lapugnoy », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).
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